-
-
-
-
LA TRISTESSE
La seule vraie tristesse est dans l'absence de désir
La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. Souvent une fausse joie vaut mieux qu'une tristesse dont la cause est vraie. Si nous ne naissons que pour les plaisirs des sens, pourquoi ne peuvent-ils nous satisfaire, et laissent-ils toujours un fonds d'ennui et de tristesse dans notre coeur ? Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré. Souvenons-nous que la tristesse seule est féconde en grandes choses. A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse. Hélas ! La grande tristesse actuelle est que les choses n'ont plus le temps de vieillir. L'âme résiste bien plus aisément aux vives douleurs qu'à la tristesse prolongée. C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime - de sa tristesse, de sa fatigue, de sa fragilité, de son intensité de vivre, de sa joie. Sans les gestes, c'est la pudeur qui disparaît, la transparence qui s'installe. Ne laisse pas la tristesse t'étreindre avant que la terre te prenne dans son sein. Nous sommes si aveugles que nous ne savons quand nous devons nous affliger ou nous réjouir : nous n'avons presque jamais que de fausses tristesses ou de fausses joies. Une âme élevée se réjouit peu, ne s'afflige jamais, et, dans toute chose ne laisse paraître aucun signe de joie ou de tristesse. La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; l'une est en or et l'autre est en fer, mais elles sont également faites pour nous enchaîner et nous empêcher de réaliser notre vraie nature. La vie est tristesse Surmonte-la.....DP120
votre commentaire -
""Yeux verts d’amour""
Au fond de tes yeux verts
J’ai vu la mer...A ton premier regard
oui s’est posé sur moi
Mon cœur chavira
Tel un bateau
Je me suis vue emportée
Par les grands flots
Par une mer agitée
J' ai jeté ma bouée
Pour sortir de l' ennui
Mais se sont tes bras
Qui ont su me rattraper
Tu m' as tiré de la mélancolie
Tu es venu à mon secours
Quand j' étais au plus bas
Quand j' étais au plus mal
En échange je t' ai offert mon amour
Un peu trop vite à ton goût
Pour en arriver à un non retour
Nos sentiments ne furent pas les mêmes
Ils ne s' entremêlent
A mon grand regret
Je n' ai su te donner ce que tu voulais
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires