L’ Amitié…


L’ Amitié…c’est une fleur dans votre vie…
Dans ses yeux…vous sentez qu’elle a tout compris…
C’ est un ultime sentiment qui vous lie..
Une joie incroyable qui vous nourrit…
Elle es là dans vos moments difficiles…
Surtout, quand votre émotivité est si fragile…


Son regard favorise votre complicité…
Pour elle, vous n’êtes jamais ridicule de pleurer…
C’est une étincelle qui allume une chaleur…
Qui se traduit par la Douceur…
Elle est toujours là… à vous tenir la main…
Pour vous guider dans les raboteux chemins…


C’est quelqu’un sur qui vous pouvez toujours compter…
Sans jamais avoir à vous justifier…
C’est une harmonie sublime et partagée…
Dans l’ Amitié…tous les jours ..on grandit…
Au fond…ça n’a pas de prix…
C’ est un trésor vraiment exquis…

Sentir sa Tendresse… c’ est comme une caresse…
Vous la respectez avec une grande noblesse…
Vous frôlez son âme avec courtoisie…
Elle vous ressent même dans le silence vos mots « non dits »…
Ces liens se forment sans rien forcer…
C’ est un Parfum qui vient vous dégager de vos soucis…

Un jour, vous distinguez sa sensibilité …
Sans rien demander…
C’ est une amabilité qui se crée entre deux personnes…
Une merveilleuse politesse qui vous fusionne…
Aucun mot ne peut vraiment décrire cette distinction…
Ça se vit simplement dans une belle admiration…

De tous les mots…c’ est un Ange béni du Ciel…
Sa présence vous fait connaître que l’essentiel…
Ne refusez jamais l’ Amitié…
C’ est une inestimable gracieuseté …
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HIBOU GRIS

(Hommage... À un frère solitaire, trop souvent absent.)

REFRAIN :

Je connais « HIBOU GRIS », fils de petit homme

La nature c’est l’harmonie, que son père lui donne

Les tribus c’est ça vie, que ça famille cautionne

Dormir dans un tipi, cela ne m’étonne

Mais le chef a envie, , le canyon et ces reliefs.

Dans ce monde imaginaire, comme un Indien dans la ville

Restant très loin des affaires, il a eu pourtant deux filles,

Deux très belles cheyennes, qui s’ajoutent à l’aventurede bannir l’uniforme

Créer son personnage, comme le héros d’une B.D

Un guerrier à son image, pour refléter ces idées.

Dans un habit de peau, il arpente la coiffe du chef

Il sait bien que c’est beau

Pour lui, c’est une aubaine, la solitude c’est dur.

Emprisonné dans son rêve, par le piège du même nom

Enraciné dans sa réserve, il attaque les canons,

Mais compte que sur lui même, ne crois pas à ces dieux

Il préfère la migraine, que lui procure l’eau-de-feu.

Après cette morale, tirée du légendaire

Un chef visage pâle, sur son cheval de fer

Porté à disparaître, il partira en fumée

Écris le poète, aux lueurs du bûché

 SEDITIO-AMOR

Merci a mon ami sédito-Amor pour ces magique poèmes

et ces superbes musiciens

AYLIDO

Hommage à une mère de famille qui a mis au monde trois merveilleux enfants, qui plus tard, devront se débattre pour bien s’en sortir.) 

Dans la joie et le bonheur

Accoucher avec stupeur

Ces trois enfants avec clameur

Pressés de crier leur bonheur

En souffrant avec ton corps

Tu nous as fait ces trois trésors

Avec eux, on rêve alors

De longs moments médaillés d'or

AY

La beauté de la jeunesse

LI

Le goût de la tendresse

DO

Les délires du rigolo

AYLIDO

Depuis été comme hiver

Cette fille et ces deux frères

Pour la gloire de père et mère

Font l'plein d'amour et de colère

Maintenant, c'est les études

Pour un avenir beaucoup moins rude

Allez allez comme d'habitude

Pour éviter la solitude

AY

La beauté de la jeunesse

LI

Le goût de la tendresse

DO

Les délires du rigolo

AYLIDO

Fiancer vous en aimerait

Enfants vous en auraient

Une famille que vous fonderaient

Et une vie que vous gagneraient

Cette histoire je vous la prédis

C'est votre papa qui l'a écrit

Avec ces lignes je vous dédie

Une belle réussite je vous le parie

AY

La beauté de la jeunesse

LI

Le goût de la tendresse

DO

Les délires du rigolo

AYLIDO

SEDIO AMOR