•  Merci a toi mon ami Seditio Amor 

     

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor

    L'art d'avoir 16 ans.

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor 

    Je me demande pourquoi ?

    Mes parents ne veulent pas

    Que je vieillisse trop vite

    Je sens que ça les irrite

    Pourtant, ils doivent s'y faire

    Je ne suis pas née d'hier.

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor 

    J'aimerais tout savoir

    Pour m'aider à les croire

    Quand ils me disent, ma fille

    La vie est trop fragile

    Profite s'en mon enfant

    Tu en as bien le temps.

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor 

    L'enfance est un voilage

    Un décor, un maquillage

    Un acte de théâtre

    Un copain écarlate

    Une séance d'essayage

    Une photo sur la plage.

     L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor 

     

    Par nature, je grandis

    Par désir, je séduis

    Mais l'amour est trop grand

    Pour une enfant de 16 ans

    J'ignore tout des dangers

    Que je dois affronter.

     L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor

    Je vis mon enfance

    Avec toute la confiance

    Des parents responsables

    Qui sont bien capable

    Qui me lance se défit

    De vivre à l'abri.

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor 

    Laissez-moi enfin voir

    La lueur de l'espoir.

    Monte-moi sur ton dos

    Que je regarde de plus haut

    La vie me voit venir

    Je n'aimerais pas la faire languir.

      

    SEDITIO AMOR Logo 2011

    Copyright ©Tous droits réservés.

    7.06.2012

      

     

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor

    L'Art d'avoir 16 ans - poème de Sédito Amor


    2 commentaires
  •  

    poème

    poème

    Le Gavroche de chez nous
    poème


    A quoi je pense ?
    Je pense à cet enfant qui frappe aux portes
    Qui veut un cœur
    Une maison, un frère et une sœur
    Une vie et une valeur
    Qui souhaite avoir une mère
    Pour avoir un grand frère
    Qui veut dormir dans un lit douillet .
    Je pense à ces gens qui ne veulent pas ouvrir les portes
    Je ne veux pas que cet enfant dise `'c'est une vie morte
    A quoi je pense ?
    Je pense préparer la potion magique
    Pour rendre le monde agréable et magnifique
    Je cherche la formule
    Qui rend l'être brillant comme la lune
    Je pense à un tableau , chef des arts beaux !
    Je vois des gens humblement heureux
    N'aimerez-vous pas être un des leurs ?
    Je pense à tous ces regards humains
    Je pense a une belles histoire et je prie pour qu'elle revint
    Maintenant a mon tour d'écrire une belle histoire
    Le messager doit donner le pouvoir
    Le messager doit mourir pour le devoir
    Le messager doit créer poétiquement le mot
    Qui puisse guérir tous les maux
    A quoi je pense ?
    A comment revenir en arrière pour changer
    A comment revenir en arrière puis avancer
    A quoi je pense ?
    A cette balançoire vide qui se balance
    Je pense à mon destin
    Et à ton futur, toi l'orphelin
    J'observe tous ces visages uniques
    Et je lève les yeux au ciel magnifique
    Levez vos yeux au ciel !
    Vous verrez que la vie est belle

    Levez vos yeux et vos mains et dites `' AMENE `'

    © Khalid EL Morabethi
    poème

     

     


    2 commentaires
  • Bon wee-kend a mes amis - sionie

    Bon wee-kend a mes amis - sionie

    Bon wee-kend a mes amis - sionieBon wee-kend a mes amis - sionie

    Bon wee-kend a mes amis - sionie


    votre commentaire
  •  

    Une mélodie silencieuse  

     

     

    Une mélodie silencieuse

    Une mélodie silencieuse


    Une voie faible devient plus en plus courageuse
    Des images déchirées, brûlées, racontent un conte
    Les mots dramatiques chantent
    Une musique enivrante
    rêves-tu encore ? rêves-tu de ton trésor ?
    Le trouver, c'est ton devoir, ton sort...
    UNe meLODie SiLeNCieUSe
    Une force, une flamme, un éclat
    Pourras-tu entendre ton coeur qui bat ?
    vois-tu cette main douce et sereine ?
    Une main froide qui veut tenir la tienne...
    entends-tu le bruit de la pluie ?
    Sens-tu le froid de la neige ?
    Cette fantasmagorie, la vivrais-je ?
    Oui mais, qui suis-je ?
    Je suis le temps qui a décidé de revenir
    Je suis la chanson qui te laisse courir
    Je suis un citoyen, un passant, un mendiant
    Je suis quelqu'un qui n'existe pas
    Peut-être un événement qui ne s'est pas encore passé
    Je suis une porte qui n'a jamais été fermée...
    Je suis un micro noir
    Je suis une voix qui a cessé d'entendre et de s'asseoir
    m'entendez-vous ? Je suis la voix de la gloire.
    UNe meLODie SiLeNCieUSe
    Le visage de la lune est en face de moi
    Être un coureur heureux, c'est un choix,
    Le choix de changer l'ordre établi
    J'ai fait une promesse,
    je commencerai à partir de cette nuit bénie
    Tranquillement, je dors en sachant
    que demain le soleil brillera
    et que le parfum de la joie m'embaumera...
    La lueur de l'espoir supprimera le désarroi.
    UNe meLODie SiLeNCieUSe
    Une voix faible devient de plus en plus courageuse
    Je sais que je suis pauvre, une personne faible
    Je sais qu'il y a des riches, des puissants,
    des opportunistes et des manipulateurs
    qui essaient de nous tuer avec leurs regards pervers
    mais... ne soyez pas si fiers
    Un jour tout le monde retournera à la poussière.
    eNTeNDez-vOUS CeTTe meLODie SiLeNCieUSe ?
    qu'avez vous choisi ? La mort ou la vie ?
    Demain, il sera trop tard
    Pour choisir entre la lumière et le noir.


    © Khalid EL Morabethi

    http://data0.eklablog.com/fleurdelys2/mod_article49953926_504a199d41c63.mp3

    3 commentaires
  • Ton Indiférence - poème - merci mon amie laurette

     

    Ton indifférence...

      

    [Sans titre] 

    Semblable à mes réels sentiments

    Comment t'avouer, ce que mon cœur ressent

    En mon esprit tourmenté, demeure ton image

    Elle a dû dès l’aurore, emmurer mon âme

    Comme les purs rayons, de la céleste flamme

    M’empêchant à jamais, de tourner la page

    Si tu avais appris simplement à m’aimer

    Tu aurais goûté en mon âme esseulée

    Aujourd’hui, tu concevrais l’amour différemment

    Dans les barrages et les tourments

    Mes émotions, mes ébats resteront secrets

    Le temps n’a point tenu, les promesses divines

    Mais, il rendit un hymne au ciel étoilé

    La vie ainsi conçue il nous faut la subir

    Je laisse retourner dans les nuits éternelles

    L’amour et le bonheur que je n’ai point goûté

    De cet âpre orgueil devenu sentinelle

    Subsistera le secret d’aimer sans torture

    En ce désert vécu en regret superflu

    Sans toi, la vie ne sera plus pareille

              Il me faudra conserver

     

                            Laure

       

    [Sans titre]

     

    [Sans titre]


    votre commentaire